Ma présentation
Posté : mer. 18 janv. 2017 21:00
Olá les internautes,
Pour la petite histoire, j’ai débuté véritablement l’informatique sur le tard, les établissements scolaires étant plus doués pour s’équiper de salles d’ordis que pour apprendre à s’en servir ou même y accéder. Il m’a donc fallu réunir argent et bribes de connaissances pour me payer un pc d’occasion, aussitôt gonflé avec une carte graphique multitâche canon. Sauf qu’une all-in-wonder mariée à du matériel obsolète, ça fait une union explosive. Mon ordinateur à peine acquis venait de cramer, en n’épargnant quasiment que le processeur, le CRT et ma superbe carte graphique tueuse.
Après, s’enflent surtout les sanglots et reste le choix de l’abandon ou de la patiente autoformation.
Donc, je fus autodidacte en assemblage et en apprentissage de l’environnement microsoft, monopole racketiel oblige. De versions successives de windows édition grand public, de 95 à 8, j’ai gouté les qualités… et les malformations. Autant écrire que le bleu n’est pas ma couleur préférée. Mon souvenir ému va à ces amis informaticiens qui m’ont aidé à traverser cette vallée de larmes d’électrons et m’ont évité de me jeter par le balcon en surfant sur l’unité centrale, d’autant que je n’habitais pas au rez-de-chaussée.
Oui, parce qu’à l’heure du 56k, et à moins d’être Rothschild ou d’avoir des parts chez aol, difficile de fouiller internet en illimité. Et quand, plus tard, on peut mais qu’on a toujours à peine de quoi se payer un assemblée, malaisé de chercher sur un autre ordi quand le premier a la grippe. Le meilleur recours était le poto à proximité physique, d’autant que c’est quand même mieux quand on vous montre et qu’on vous explique.
Et le libre alors ? Et bien, j’y viens tintin.
Déjà, je le découvris peu à peu par la bordure, vu que l’institutionnel, même universitaire, faisait (et fait encore, honte à lui) la promotion du privateur. A la philosophie, j’adhère par principe. La pratique fut plus longue à venir. Pas tant pour mes utilitaires que pour le système. Deux greffes ubuntu ne prirent pas, par incompatibilité matérielle principalement. Et je manquais aussi de proche linuxien sous la main.
Par ma relative expérience, je suis devenu l’ami «informaticien» pour les unes et les autres. Installation, mise à jour, dépannage, de windows oui mais aussi d’ubuntu en double amorçage, en o.s. principal avec satisfaction des destinataires s’il vous plait.
Mais il me faut résoudre le paradoxe de ne pas aboutir pour moi ce que j’apporte à d’autres. La dénonciation grandissante, et justifiée, de la nocivité des GAFAM comme l’enterrement forcé de w.XP m’y ont aidé.
Je n’admets pas la logique infantilisante et aliénante qui s’aggrave de vista à 8 pour devenir violente avec windows 10 et je supporte de moins en moins l’impact pédagogique, économique, écologique et sociale, bref politique d’une industrie numérique obsolescente, pisteuse et centralisée. D’autant plus quand elle proclame « aimer » le libre ou « l’ouvert » pour mieux asseoir sa domination.
Ayant fait le choix de suivre la logique de « dégooglisation » de framasoft, il me faut aussi pour la mettre en pratique trouver un système le plus libre possible, grand public et accessible sur toutes sortes de configurations. Et d’en apprendre au mieux son usage pour pouvoir le transmettre matériellement et pédagogiquement à d’autres, sous une forme associative ou coopératiste, sur du matériel reconditionné.
Après différentes recherches, j’escompte avoir trouvé ces qualités en linux mint debian edition que j’installe en double amorce sur mon ordi de bureau, en attendant de le porter sur mon portable. C’est un peu une rééducation à l’o.s. que j’opère aujourd’hui et j’espère pouvoir m’appuyer sur la communauté pour l’aboutir et ainsi contribuer à défendre l’esprit à l’origine même d’internet.
Merci de m’avoir lu, et à très bientôt sur le forum.
Pour la petite histoire, j’ai débuté véritablement l’informatique sur le tard, les établissements scolaires étant plus doués pour s’équiper de salles d’ordis que pour apprendre à s’en servir ou même y accéder. Il m’a donc fallu réunir argent et bribes de connaissances pour me payer un pc d’occasion, aussitôt gonflé avec une carte graphique multitâche canon. Sauf qu’une all-in-wonder mariée à du matériel obsolète, ça fait une union explosive. Mon ordinateur à peine acquis venait de cramer, en n’épargnant quasiment que le processeur, le CRT et ma superbe carte graphique tueuse.
Après, s’enflent surtout les sanglots et reste le choix de l’abandon ou de la patiente autoformation.
Donc, je fus autodidacte en assemblage et en apprentissage de l’environnement microsoft, monopole racketiel oblige. De versions successives de windows édition grand public, de 95 à 8, j’ai gouté les qualités… et les malformations. Autant écrire que le bleu n’est pas ma couleur préférée. Mon souvenir ému va à ces amis informaticiens qui m’ont aidé à traverser cette vallée de larmes d’électrons et m’ont évité de me jeter par le balcon en surfant sur l’unité centrale, d’autant que je n’habitais pas au rez-de-chaussée.
Oui, parce qu’à l’heure du 56k, et à moins d’être Rothschild ou d’avoir des parts chez aol, difficile de fouiller internet en illimité. Et quand, plus tard, on peut mais qu’on a toujours à peine de quoi se payer un assemblée, malaisé de chercher sur un autre ordi quand le premier a la grippe. Le meilleur recours était le poto à proximité physique, d’autant que c’est quand même mieux quand on vous montre et qu’on vous explique.
Et le libre alors ? Et bien, j’y viens tintin.
Déjà, je le découvris peu à peu par la bordure, vu que l’institutionnel, même universitaire, faisait (et fait encore, honte à lui) la promotion du privateur. A la philosophie, j’adhère par principe. La pratique fut plus longue à venir. Pas tant pour mes utilitaires que pour le système. Deux greffes ubuntu ne prirent pas, par incompatibilité matérielle principalement. Et je manquais aussi de proche linuxien sous la main.
Par ma relative expérience, je suis devenu l’ami «informaticien» pour les unes et les autres. Installation, mise à jour, dépannage, de windows oui mais aussi d’ubuntu en double amorçage, en o.s. principal avec satisfaction des destinataires s’il vous plait.
Mais il me faut résoudre le paradoxe de ne pas aboutir pour moi ce que j’apporte à d’autres. La dénonciation grandissante, et justifiée, de la nocivité des GAFAM comme l’enterrement forcé de w.XP m’y ont aidé.
Je n’admets pas la logique infantilisante et aliénante qui s’aggrave de vista à 8 pour devenir violente avec windows 10 et je supporte de moins en moins l’impact pédagogique, économique, écologique et sociale, bref politique d’une industrie numérique obsolescente, pisteuse et centralisée. D’autant plus quand elle proclame « aimer » le libre ou « l’ouvert » pour mieux asseoir sa domination.
Ayant fait le choix de suivre la logique de « dégooglisation » de framasoft, il me faut aussi pour la mettre en pratique trouver un système le plus libre possible, grand public et accessible sur toutes sortes de configurations. Et d’en apprendre au mieux son usage pour pouvoir le transmettre matériellement et pédagogiquement à d’autres, sous une forme associative ou coopératiste, sur du matériel reconditionné.
Après différentes recherches, j’escompte avoir trouvé ces qualités en linux mint debian edition que j’installe en double amorce sur mon ordi de bureau, en attendant de le porter sur mon portable. C’est un peu une rééducation à l’o.s. que j’opère aujourd’hui et j’espère pouvoir m’appuyer sur la communauté pour l’aboutir et ainsi contribuer à défendre l’esprit à l’origine même d’internet.
Merci de m’avoir lu, et à très bientôt sur le forum.